A l’heure actuelle, la sensation du toucher avec le bras
bionique est encore quasi-inexistante. Cependant certaines prothèses permettent
de transmettre des sensations à l’individu. Toutefois cette nouvelle génération
de prothèse n’a encore été que très peu testée et sera commercialisée,
disponible au grand public que dans une demi-décennie (d’après les chercheurs
ayant mis en place ce système sensoriel). Les essais étant de courte durée (un
moi, limite fixée par la législation européenne pour tous tests cliniques), ils
n’ont pas permis aux scientifiques de savoir si l’utilisation sur le long terme
pouvait endommager, à cause des électrodes les nerfs périphériques.
L’absence de sensation empêche les patients de ressentir l’objet en main. De plus, celui-ci doit garder un œil en permanence sur sa prothèse pour s'assurer d'effectuer le bon mouvement. De la même manière qu'un prothésé bionique des jambes doit constamment les regarder pour des opérations plus compliquées comme monter les escaliers.
3 amputés sur 4 éprouvent des douleurs au niveau de leur membre amputé. Il s'agit des douleurs fantômes. Le terme membre fantôme désigne la sensation qu'un membre amputé ou manquant est toujours relié au corps et interagit bien avec d'autres parties du corps. Ces sensations entrainent la plupart du temps des douleurs, des fourmillement, des brulures ou des crampes.
Bien que ces douleurs soit connues depuis le 16ème siècle, on a encore du mal à comprendre d'où elles proviennent, ces douleurs qu'on classe dans la famille des douleurs neuropathiques, des douleurs difficiles à soigner.
Il existe tout de même des traitement comme la thérapie du miroir. Puisque le membre amputé ne peut plus envoyer de message sensitif au cortex, on peut compenser par un autre type de message : un message visuel. La personne doit regarder bouger le membre qui lui reste dans un miroir. Cette vision envoie alors un message fictif qui permet de faire croire au cerveau que c'est le membre amputé qui fonctionne de nouveau.
D'autres thérapies comme les traitement médicamenteux (antidépresseurs, antiépileptiques) ou la stimulation magnétique transcrânienne sont envisageable. Elle consiste en la stimulation magnétique de la zone du cerveau qui commande le membre amputé. La machine utilisée délivre un champ magnétique très puissant qui va induire un courant électrique.
Lorsque ces thérapies n'entrainent aucun effet, il est possible de pratiquer la section hyper sélective des fibres nerveuses qui conduisent l'information douloureuse. Cette technique n'est réservée qu'à quelques cas.
L’absence de sensation empêche les patients de ressentir l’objet en main. De plus, celui-ci doit garder un œil en permanence sur sa prothèse pour s'assurer d'effectuer le bon mouvement. De la même manière qu'un prothésé bionique des jambes doit constamment les regarder pour des opérations plus compliquées comme monter les escaliers.
3 amputés sur 4 éprouvent des douleurs au niveau de leur membre amputé. Il s'agit des douleurs fantômes. Le terme membre fantôme désigne la sensation qu'un membre amputé ou manquant est toujours relié au corps et interagit bien avec d'autres parties du corps. Ces sensations entrainent la plupart du temps des douleurs, des fourmillement, des brulures ou des crampes.
Bien que ces douleurs soit connues depuis le 16ème siècle, on a encore du mal à comprendre d'où elles proviennent, ces douleurs qu'on classe dans la famille des douleurs neuropathiques, des douleurs difficiles à soigner.
Il existe tout de même des traitement comme la thérapie du miroir. Puisque le membre amputé ne peut plus envoyer de message sensitif au cortex, on peut compenser par un autre type de message : un message visuel. La personne doit regarder bouger le membre qui lui reste dans un miroir. Cette vision envoie alors un message fictif qui permet de faire croire au cerveau que c'est le membre amputé qui fonctionne de nouveau.
D'autres thérapies comme les traitement médicamenteux (antidépresseurs, antiépileptiques) ou la stimulation magnétique transcrânienne sont envisageable. Elle consiste en la stimulation magnétique de la zone du cerveau qui commande le membre amputé. La machine utilisée délivre un champ magnétique très puissant qui va induire un courant électrique.
Lorsque ces thérapies n'entrainent aucun effet, il est possible de pratiquer la section hyper sélective des fibres nerveuses qui conduisent l'information douloureuse. Cette technique n'est réservée qu'à quelques cas.